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Quelques articles de presse.....

L'enfant et les sortilèges, Opéra de Tours, février 2024 (Rôles de la Libellule, la Tasse Chinoise et du Pâtre)

"Albane Carrère, au legato prenant, émerveille en libellule, dans ses poétiques atours de taffetas bleu-violet, aux ailes d’or." (Patrice Henriot, Opéra Magazine, février 2024)

"Albane Carrère dispose d’une voix chaleureuse et malléable dans ses incarnations de la Tasse Chinoise, du Pâtre et de la gracieuse Libellule." (José Pons, Olyrix, février 2024)

Kiki à Paris, Théâtre du Vaudeville, Bruxelles, Novembre 2023.
« Albane Carrère a une voix de formation classique et une tessiture large qui fonctionne aussi bien dans les chansons que dans les mélodies et qui réussit à surprendre en saisissant toujours l'atmosphère de chaque chanson en un clin d'œil, captivant immédiatement l’oreille de l'auditeur. Outre son sens dramatique bien développé, elle fait montre de souplesse et d’une bonne dose d’humour. Le désarmant A Chloris de Reynaldo Hahn en rappel a été accueilli avec des acclamations par le public bruxellois » (Marnix Bilderbeek, De nieuwe muze, novembre 2023).
 

L'enfant et les sortilèges, Opéra d'Avignon, novembre 2023 (Rôles de la Libellule, la Tasse Chinoise et du Pâtre)

« La Tasse chinoise, la Libellule et le Pâtre sont interprétés par Albane Carrère, jouant habilement de sa palette de timbres pour partager ses intentions, caractéristiques de chacun de ses personnages tout en distillant sa voix chaude, présente avec une pointe de brillance. ». (Emmanuel Deroeux, Olyrix, novembre 2023)

 

« Albane Carrère joue à son tour la libellule au rythme entraînant d’une valse américaine, la tasse chinoise ou encore le pâtre, d’une voix claire, subtile et envoûtante ». (Fanny Bousquet Balian, Première Loge, novembre 2023.) 

Disque Karl Weigl avec l’ensemble Mark Rothko a été distingué par 5 diapasons. et.... "la mezzo française, Albane Carrère, relève elle aussi crânement le défi de cet expressionnisme tourmenté !" (Jean claude Hulot - Diapason , oct 2023)

 

"Bien qu'un cycle de mélodies soit destiné à une alto et l'autre à une mezzo-soprano, les deux ensembles sont joliment chantés par la mezzo-soprano Albane Carrère (…). Elle obtient un A solide pour son chant sublime. (Marc Novak, fanfarearchive.com, décembre 2023.)

Mercedes Opéra de Toulon (mai 2023)

... "La Mercédès très présente et très joueuse d’Albane Carrère" (Jean-Luc Clairet. Resmusica, mai 2023)

 

... "La Mercedes de la mezzo-soprano Albane Carrère apporte ses ombres apaisantes et sereines, balancées par un vibrato naturel. Elle se complète sur le plan vocal et physique, énergétique et émotionnel (avec Frasquita)".  (Florence Lethurgez, Olyrix, mai 2023).

Disque Karl Weigl sorti chez Urania Records (avril 2023) :

“La mezzo-soprano Albane Carrère s’engage avec sensibilité dans ce langage lyrique ‘ tardo romantico ‘ , qu’elle nuance avec des moments de parlé, interprétant des vers qui parlent de la nature dans son acception existentielle’’. (Journal Il Piccolo de Trieste - Juin 2022)

"Saluons la prestation de l’ensemble Mark Rothko comme de la mezzo française Albane Carrère, qui fait crânement face aux exigences redoutables du compositeur. Précipitez-vous ! "(Richard Wander, Clic Musique, mai 2023)

Cherubin Opéra de Catane (mars 2023) 

... "Chérubin que nous avons entendu chanté par la mezzo-soprano autrichienne Albane Carrère qui avec son timbre clair a bien rendu les émois amoureux du jeune papillon… (Musicultura)

 

… "Excellent le Chérubin d’Albane Carrère, une interprétation convaincante par ses intentions et sa vocalité". (Sicilian Post)
 

… "La mezzo-soprano Albane Carrère nous a offert un Chérubin gracieux et palpitant de désir, peut-être le personnage le plus léger et séduisant dell’opéra mozartien". (Clessidra.it)

… "L’opéra prend forme grâce à (…) l’intempérant Chérubin d’Albane Carrère , qui a bien mis en relief les airs les plus célèbres et les duos, créant une harmonie délicieuse dans les précieux ensembles, représentation du bel canto d’un des plus grands compositeurs de tout les temps" (Scriptandbooks.it)

… "Albane Carrère est un irrésistible Chérubin “en travesti”, constamment en mouve
ment et au centre de toutes les intrigues amoureuses, soutenu par une belle présence sur scène". (Ivespri.it)

… "Albane Carrère se meut facilement dans le rôle du page du Conte grâce à un usage habile de ses moyens vocaux. Elle incarne presque obsessivement les émois amoureux du jeune homme, en nous offrant des moments particulièrement intenses comme dans l’air “Non so più cosa son, cosa faccio” et avec l’ariette “Voi sapete cosa è amor, Donne vedete s’io l’ho in cor” qui avec les pizz des cordes et l’usage du vibrato ressemble presque à une sérénade"… (Operalibera.net)

Quatre âmes slaves au Théâtre des Bouffes du Nord

"...la voix de la soliste se fond pleinement dans les nuances du récital, ni trop discrète, ni trop puissante... Albane Carrère déploye son ambitus et même davantage, des graves de mezzo à des aigus soprano. Avec un vibrato ample et crescendo tout le long du concert, la voix vient progressivement porter dans les recoins de la salle... Son timbre chaleureux apporte une lumière tout à fait appréciable dans ce théâtre gris". (Pablo Lemonnier. Olyrix. Décembre 2022)

..."Les Mélodies tziganes op. 55 de Dvořák referment le programme, dans l’arrangement très réussi de Bruno Fontaine. Une manière d’orchestration de chambre qui vient sertir –  et « brahmsise » un peu – une partie vocale dont Albane Carrère s’acquitte avec autant de vie que de sensibilité". (Alain Cochard. ConcertClassic.com . Décembre 2022)

... "Au chant, Albane Carrère a d’abord la lourde responsabilité de porter des textes d’Alexander Blok avec les Sept Romances de Chostakovitch. Le violoncelle refroidit alors l’atmosphère de son ton glabre, pour laisser s’épanouir la voix de la mezzo-soprano, bien placée dans l’acoustique des Bouffes.
D’un chant porté en phonétique, la chanteuse française parvient à presque faire croire qu’elle parle la langue des poèmes de Blok, de même qu’elle s’ajuste avec finesse aux textes tchèques des Chants tziganes op. 55 de Dvořák à la fin du concert. Correctement arrangés pour un effectif de trio par Bruno Fontaine, ces chants profitent à nouveau de la diction de la mezzo, jusqu’à toucher vraiment avec le célèbre chant n° 4, repris en bis pour refermer la soirée". (Vincent Guillemin . Altamusica . Décembre 2022)

Disque Il est quelqu’un sur terre 

'Prestation d'anthologie', ‘Diction de proximité, souffle concentré et comble de l'émotion où se mêlent ravissement extatique et tristesse inconsolable’. (Pierre Gervasoni. Le Monde. Août 2022). 

‘Albane Carrère, mezzo léger au timbre agréable, change sa voix comme si elle utilisait un autre instrument, qu’elle maîtrise aussi bien que l’instrument classique, faisant valoir une polyvalence musicale et une belle réflexion sur la pratique vocale‘. (Jacques Bonnaure, Classica, Septembre 2022)

"The Woman" dans ‘Is this the end 2 : Here’s the woman’ de Jean-Luc Fafchamps au Théâtre Royal de la Monnaie (avril 2022)

* « Here’s the woman » creuse davantage l’aspiration à la lumière éternelle et à un amour immatériel de cette femme artiste incarnée par une très émouvante et idéale Albane Carrère, à la voix chaude profonde et ronde, en parfaite connivence dramatique et lyrique avec le rôle.  (Bénédict Hévry. Resmusica)

* La mezzo-soprano Albane Carrère offre un timbre boisé, rond et ample dont les aigus sonnent puissants, sensibles et clairs. La performance de la chanteuse, habillée en cantatrice des années 50 façon musical Hall luxueux, s'offre en héroïne sensible et sensuelle avec une grande acuité et noblesse de jeu au service du dialogue avec sa collègue et du propos d'ensemble. (Soline Heurtebise. Olyrix)

* L'interprète principale de cette deuxième partie est la mezzo autrichienne Albane Carrère, une voix à la fois sensuelle, douce, aux beaux aigus lumineux, qui incarne parfaitement une ancienne âme féminine noble en peine avec tous les tourments des mères qui perdent leur fils (Alma Torretta. giornaledellamusica.it)

* Albane Carèrre au timbre merveilleusement profond et au lyrisme porté  (Sylvia Broeckaert. Klara.be)

* Albane Carrère brille dans le rôle très virtuose de la Femme (Stephan Moens. De Morgen)

Idamante dans Idomeneo à l’Opéra Grand Avignon (mars 2022)

* (...) l’ambitus de la très subtile Albane Carrère dont le beau mezzo clair et sensible, l’allure noble et assurée, font mouche (Jean-Luc Clairet. Resmusica)

* Albane Carrère infuse à son personnage de jeune homme, la fraîcheur et la naïveté de son timbre mielleux et sombre, également grâce à une belle étendue vocale et à des nuances qui donnent de la profondeur aux mots (Par Moisés Ordóñez Alarcón. Olyrix).

* "...Quant à la mezzo-soprano Albane Carrère, sa sensibilité, la délicatesse de son jeu et sa voix retenue, semblent la destiner aux rôles travestis ... elle incarne dans Idomeneo un Idamante comme douloureux enjeu d’un destin qui le dépasse, à l’instar d’Iphigénie ou d’Isaac, tous deux promis également au sacrifice sous la main de leur père." (Classique en Provence)

* "En Idamante, Albane Carrère se distingue par une homogénéité idéalement androgyne sans négliger par trop de placidité les tourments du personnage." ( Gilles Charlassier - Première Loge)

 

Beau moment cette année 2020, où Albane et le quatuor Alfama ont remporté "les Octaves de la musique classique 2020" pour leur Cd "Still Schubert".

Chérubin dans les Petites Noces de Figaro de Mozart, Théâtre des Champs Elysées

* (...) Albane Carrère est un Chérubin adolescent, passionné et impulsif, à la voix fine et homogène du grave à l’aigu et sur toute l’étendue du spectre de nuances. Son timbre fruité et doux garde sa candeur adolescente. (Damien Dutilleul,  Olyrix , 31 janvier 2020 )

* (...) C'est Chérubin qui remporte la mise : délicieuse Albane Carrère, qui fait oublier le Chérubin "des grands", de jeu, de grâce et de timbre. (Brenard,  Francetvinfo , 29 janvier 2020 )

CD Still Schubert - Quatuor Alfama & Albane Carrère

* (...)  la voix pure et chaude d'Albane Carrère. (Fabienne Bouvet, Classica) 

Concert Still Schubert à la Maison de la Radio Flagey avec le quatuor Alfama

* (...) La chanteuse Albane Carrère présente une personnalité attachante. Les phrases sont soignées jusqu’au bout, la voix est pure et se fonde parfaitement dans le son du quatuor... (Estelle Lucas, crescendo-magazine.be, 21 juin 2019)

Albane Carrère, accompagnée par le quatuor à cordes Alfama (concert à la Philharmonie de Liège)

* (...) une technique parfaite et une interprétation assumée ont conquis le public. Albane Carrère a un timbre rond, chaleureux et avec peu de vibrato qui se mélange parfaitement aux sons de ses collègues. Très en-dehors de ses partitions, elle captive le public par ses regards et son jeu sur un texte pourtant très sombre. (Romy Leroy, Crescendo Magazine, 11 février 2019)

Lamoureux anniversaire Berlioz au Théâtre des Champs-Élysées.

* (...) Visiblement heureuse, Albane Carrère se délecte des poèmes signés Théophile Gautier par la douceur constante d'un sourire radieux. Toujours mesurée, délicate, égale, elle se refuse aux nuances prononcées, aux intensités franches. Les contrastes sont à chercher entre la grande ouverture de ses voyelles et la rondeur côtelée du timbre. (Charles Arden, Olyrix, 20 janvier 2019)

Chérubin dans Les Noces de Figaro, L'Opéra Grand Avignon.

* (...) le Chérubin de la mezzo-soprano Albane Carrère, à la voix pleine de caractère et au jeu parfaitement équilibré, entre timidité excessive et élans amoureux pour le moins expressifs. (Pierre Geraudie, Olyrix, 23 octobre 2018)

* (...) elle compose ici un Chérubin mi-effronté mi-candide, troublant de sensualité contenue, une interprète en tous points précise et juste dans toute l’ambiguïté du personnage. (Classique en Provence, 21 octobre 2018)

* C’est à Albane Carrère qu’est dévolu le rôle de Chérubin, le page du comte. Et la mezzo-soprano campe à merveille le jeune adolescent qui découvre l’amour, un travestissement qu’elle tient superbement, sa romance chantée à la comtesse en fait un joli moment d’émotion. (Marianne Millet, parolesdopera.com)

* Le Cherubino d’Albane Carrère remporte tous les cœurs, de la scène et du public. (Benito Pelegrin, Classique News, 01 novembre 2018)

* Encore une fois, c’est le personnage de Cherubin qui catalyse la fantaisie. Perdu dans l’ambiguïté de ses désirs, complètement poétisé, il traverse les murs, comme irréel. Par son timbre et son jeu, Albane Carrère rallie tous les suffrages et gagne notre cœur.  (Christian Colombeau, arts-spectacles.com, 24 octobre 2018)

Nuits d'été de Berlioz au Festival de Besançon.

Albane Carrère et la ligne claire du chant français. Intrigué par la jeune mezzo-soprano, l’on se rend à son rendez-vous des Nuits d’été (...). Une simple main glissée sur le long du cou accompagne une voix dont le fruité glisse avec grâce vers le grave, enivrée du sublime des notes de la plus belle mélodie française (...) on saluera la très belle prestation d’une jeune chanteuse à suivre.  (Jean-Luc Clairet, Resmusica, 21 septembre 2018)

Concert rencontre Eric Tanguy/Michel Onfray. Festival International de musique de Besançon. 

* Magnifique transmetteuse est Albane Carrère, belle révélation du festival 2018. La chanteuse, dialoguant avec le piano lumineux et aérien de Suzana Bartal, est une diseuse gourmande, héraut de cette ligne claire du chant français saluée ce soir de Debussy à Poulenc. Grand moment. (Jean-Luc Clairet, Resmusica, 21 septembre 2018)

Marie dans Moïse et Pharaon de Rossini, Festival Rossini de Wildbad (Allemagne)

* Albane Carrère a transmis, en tant que Marie, mère d’Anai, beaucoup d’émotions et nous a donné envie de l’entendre dans des rôles plus grands’. (Udo Klebes, Online Merker (die Internazionale Kulturplattform), 30 juillet 2018) 

* Parmi les rôles secondaires, on apprécia surtout la sensible Marie d’Albane Carrère (Stefano Nardelli, Le Journal de la critique italienne (Il Giornale della Musica), 21 août 2018).

* La Marie d’Albane Carrère a l’assurance de ceux pour qui la voie est claire ; la voix le semble aussi (Maurice Salles, Forum opera, 25 Juillet 2018)

Alisa dans Lucia di Lammermoor de Donizetti, Opéra de Bordeaux

* …. Vocalement, la distribution a été établie avec un soin extrême, comme en témoigne la qualité des seconds rôles, de l’Alisa façon gouvernante hitchcockienne d’Albane Carrère….. (Stéphane Lelièvre, Olyrix, 07/04/2018 )

* ….  Albane Carrère donne une appréciable consistance à Alisa, la suivante de Lucia, que l’on confie souvent à des mezzos de caractère. (Gilles Charlassier, toutelaculture.com ,7 avril 2018)
 

Clotilde dans Norma de Bellini, Opéra Royal de Mascate (Oman)

* Plus que positive la performance d’Albane Carrère en Clotilde. (Danilo Boaretto, Operaclick, 22 février 2018 )

Cunégonde dans Le Roi Carotte d'Offenbach, Opéra de Lille

* Albane Carrère, admirable de présence et de vocalité en Cunégonde (Sébastien Foucart, Concertonet.com. Février 2018)

* Albane Carrère (...) a le punch et la classe que le compositeur et Victorien Sardou, son librétiste, exigeaient certainement d'Anna Judic, première interpète de Cunégonde. (Pierre Sadars, Opera Magazine. Février 2018)

* (...) la rebelle Princesse Cunégonde, impayable Albane Carrère. (David Verdier, altamusica.com. Février 2018)

 

Clotilde dans Norma de Bellini, Opéra de Rouen

* Albane Carrère campe une Clotilde affirmée scéniquement et vocalement avec des phrases sonores et projetées (Joselyne de Nicola, GBOPERA Magazine. Octobre 2017)

Donna dans Senza Sangue de Peter Eötvös, Hackney Empire, Londres

* Sa voix était riche et chaude et elle transmit toute l'énergie nerveuse du caractère avec grâce et assurance. (Vivian Darkbloom, Schmopera. Septembre 2017)

Donna dans Senza Sangue de Peter Eötvös, Barbican, Londres

* (...)Albane Carrère était idéale, tour à tour tempétueuse et subjuguée, avec toujours une conscience claire du drame. (Gavin Dixon, The arts desk. Mars 2017)

Clotilde dans Norma de Bellini, Opéra de Saint-Etienne

* (...)"La Mezzo Albane Carrère et le Ténor Kévin Amiel se font heureusement remarquer par une vraie implication vocale, qui fait d'emblée dresser les oreilles." (Opéra Magazine. Novembre 2016)

Donna dans Senza Sangue de Peter Eötvös, Opéra Grand-Avignon

* (...) Albane Carrère, qui a déjà une belle carrière notamment en Belgique relève la gageure en mezzo-soprano au medium chatoyant, au jeu léger et distancié. Elégante, toujours juste, maniant en virtuose les aigus piégés d'Eötvös. (Caroline Alexander, Webtheater. Mai 2016)

La Tsigane dans Le journal d'un disparu de L.Janacek, POP

* (...) une sensibilité féminine unique puissamment rehaussée par la présence scénique exceptionnelle de la mezzo-soprano Albane Carrère.Timbre épais et velours comme la nuit, regard de braise, elle campe une enchanteresse de l'amour plus vraie que nature. (Thierry Hillériteau, Le Figaro. Avril 2016)

* (...) sensualité et chaleur de la féline Albane Carrère qui passe de la langue tchèque chantée de Janacek aux vers écrits en rrom par Papusza, avec une diction et une facilité déconcertante. Elle est doublement la Tzigane. (Caroline Alexander, Webtheater. Avril 2016)

La Belle Hélène - Musique Française, Michel Plasson

* Albane Carrère a un sens du jeu, un charme et un physique mirobolants. (Jérôme Pesqué, ODB Opéra. Juillet 2015)

* Le sens de la mise-en-scène, c'était avec Albane Carrère dont la belle Hélène savait habilement prendre la pose (...) (Guillaume Saintagne, Forum Opéra. Juillet 2015)

* (...) Albane Carrère, délicieuse dans l'invocation à Vénus (Danielle Anex-Cabanis, Utmisol. Juillet 2015)

The Fairy Queen, Midsummer Festival d'Hardelot

* Dans « I am come to lock all fast », Albane Carrère déploie tant de qualités de diction et de timbre qu'on regrette de ne pas l'entendre davantage en solo au cours de la soirée. (Laurent Bury, Forumopera. Juin 2015)

Zerlina dans Don Giovanni de Mozart, Château de Vincennes

* (...)en particulier, le timbre chaud et rond de Zerline (Albane Carrère). (Flore Estang, musicologie.org. Juin 2014)

Zerlina dans Don Giovanni de Mozart, Opéra de Tours

* La découverte de cette représentation est Albane Carrère, dont la fraîcheur vocale et scénique nous ravit, en particulier dans un Batti, batti, o bel Masetto joliment fruité. (Vincent Deloge, ResMusica. Octobre 2013)

* Le joli timbre d'Albane Carrère, Zerlina au cordeau et à la diction éloquente : la belle surprise de la soirée. (Maximilien Hondermarck, Forum Opéra. Octobre 2013)

* Le mezzo velouté d'Albane Carrère, la délicatesse de son phrasé, la grâce de son jeu (...). (Patrice Henriot, Opéra Magazine. Décembre 2013)

* Pétulante et fragile, la mezzo française Albane Carrère prête sa fraîcheur et sa musicalité à Zerlina. (Emmanuel Andrieu, ConcertoNet. Octobre 2013)

* Albane Carrère dessine d'une voix claire et chaleureuse une délicieuse Zerline. (Philippe Haller, La Nouvelle République. Octobre 2013)

Mercédès dans Carmen de Bizet, Opéra de Tours

* Parmi des seconds rôles efficaces, nous retiendrons en particulier (...) la Mercédès espiègle et mutine d'Albane Carrère. (Nicolas Grienenberger, ClassiqueNews. Janvier 2014)

Zerlina dans Don Giovanni de Mozart, Opéra de Reims

* La mezzo française Albane Carrère prête sa pétulance, sa fraîcheur et sa belle sensibilité à Zerlina, toute de musicalité délicate. (Emmanuel Andrieu, ClassiqueInfo.com. Novembre 2013)

*  Cette très jolie mezzo charme également par des échappées pleines de hardiesse dans les aigus et par sa malice ingénue. (ODB-Opera. Novembre 2013)

La Dispute. Théâtre Royal de la Monnaie (Belgique)

* (...) La querelle d'Albane Carrère avec Eglé est un petit chef d'oeuvre d'interprétation (...) (Nicolas Derny, Forum Opéra. Mars 2013)

Concert mélodie française. Opéra Fuoco

* Albane Carrère, très concentrée, prête à la musique de Chausson des accents qui semblent puiser leur inspiration dans la mélancolie d'un regard bleu. Preuve émouvante que l'on chante aussi avec les yeux. (Christophe Rizoud, Forum Opéra. Octobre 2012)

 

Récital Gustav Mahler. Opéra de Rouen

* Dès le début, nous sommes séduits par la voix charnue, ronde, ductile, de la mezzo-soprano Albane Carrère (...)La voix sait se plier aux exigences du lied mahlérien, s'assombrissant sans se décolorer (...) On sent en Albane Carrère un tempérament et une capacité à changer d'atmosphère, à trouver le ton juste sans négliger ni projection, ni longueur de souffle. (E.Gibert, ODB Opéra. Novembre 2011)

Les Folk Songs de Berio

* Albane Carrère est une jeune mezzo-soprano à la voix exceptionnelle. Un destin ! Une personnalité ! Une beauté ! Une gestuelle intelligente ! Une présence scénique de tout premier plan. (Roger Simons. Château de Seneffe. Juillet 2011)

 

Thérèse de Massenet (Palais des Beaux-Arts de Charleroi/Opéra Royal de Wallonie, novembre 2010, juin 2011)

* Albane Carrère défend le rôle de Thérèse avec un beau tempérament de tragédienne, offrant une excellente diction, un timbre velouté et un chant juste et solide, aux aigus purs et émis sans effort. (Richard Letawe, Classique Info)

* Thérèse est un personnage extraordinairement bien fouillé (…) un très beau portrait de femme, admirablement rendu par la jeune et belle Albane Carrère. Son air « jour de juin, jour d’été » a été salué avec enthousiasme. (Bruno Peeters, Crescendo Magazine)

Karolka dans Jenufa de Leoš Janáček . Opéra de Rouen

* La mezzo Albane Carrère (Karolka) tient son rôle avec compétence. (Brigitte Cormier, Forum Opéra, mai 2011)

La Flûte enchantée. Opéra de Rouen

* (...)Albane Carrère, dans la deuxième dame, est parfaite. Elle affirme une qualité vocale parfaite tout comme une présence scénique.(Théâtre en Normandie, février 2011)

Maria dans La mélodie du bonheur de Richard Rodgers

* Le rôle de Maria est remarquablement interprété par Albane Carrère. Il est vrai que son petit coté Julie Andrews nous rappelle que les castings servent quand même à quelque chose. (Forum de Liège)

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